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Un proto nommé Guadalcanal qui fleure bon le gros jeu d'affrontement sur fond de guerre 39/45.
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Tiens allez un petit Ghost Stories, Wu-Feng et ses hordes de Fantômes sont de sortie...
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...Isla Dorada...
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...Moi en train d'initier un vieux pote à Yggdrasil.
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Et comme parfois les images sont plus parlantes que les mots, je vous propose cette petite sélection d'images qui stigmatisent assez bien ce que l'on peut trouver Cannes et plus globalement dans le jeu de société : rencontres, amitié, moments de délires et de convivialité, discutions enflammées et passionnées, séances de dédicaces et, bien sûr, du jeu encore et toujours !
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Voilà Cannes 2011 à fermé ses portes et aura tenu, comme à l'accoutumée, ses promesses de plaisirs ludiques, de rencontres et de parties endiablées. Pour ma part, cette session 2011 était forcément particulière puisqu'Yggdrasil faisait son apparition en avant-première et que, du coup, j'ai passé le plus clair de mon temps sur le stand Ludonaute à faire découvrir le jeu à tout ceux qui sont passés nous voir. Un Festival donc différent pour moi, mais quel bonheur de voir les joueurs pratiquer Yggdrasil. L'aboutissement d'une belle aventure entre potes et de trois ans de développement et de fignolage. Alors quoi de mieux que de voir les joueurs s'accaparer le jeu et prendre du plaisir à jouer les Dieux d'Asgard...
Un grand Merci à tous ceux qui sont passés nous voir et ont pratiqué (ou pas !) Yggdrasil.
Alors, bien sûr, cette année, le reportage est un peu plus court.
Globalement, on peut dire que cette version compactée sur 3 jours (qui commençait quand même par le Off du jeudi soir) à bien fonctionné : les visiteurs étaient au rendez-vous et les allées auront été bien pleines tout au long de l'évènement.
Concernant le Jeu de l'année/As D'or, je ne vais pas revenir sur ce que j'ai déjà dit les précédentes année, mais je ne suis toujours pas convaincu pas sa forme, qui n'a pas beaucoup changé : Les membres du jury qui sont presque toujours les mêmes et une manière de fonctionner trop confidentielle, qui lui donne ce côté informel qui ne l'aide pas à prendre une vraie dimension (et à avoir un véritable impact sur le public).
Ceci étant dit, Bravo à Hervé Marly pour Skull & Roses, à Antoine Bauza pour 7 Wonders et à Olivier Igelhaut pour SOS Octopus, qui méritent tous trois leurs prix !
Vivement l'année prochaine qu'on puisse remettre ça et en attendant bonnes parties à tous !
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